D'une naissance dans les années 40 de l'ancien siècle, on peut déjà retenir une époque très nettement moins bien avancée que celle de nos jours, et pour l'analyse suivante, on commenceras par évoquer ce qui peut déterminer certaine déviations, en l'occurrence dans un premier exemple, celui dans un cerveau trop juvénile pour comprendre, mais aussi avec une instruction minima pour l'époque, suffisante toutefois pour marquer le déroulement de la vie ensuite.

Je vais donc évoquer ce qui me semble le nid, et c'est bien de le dire, le cœur de nos déviations.

En effet à cette époque perdurant jusque dans le début des années soixante, appliqué fort heureusement brièvement par notre couple, c'était l'emmaillotage, certes beaucoup moins que ce que j'ai vécu à ma naissance, mais certainement resté imprimer dans ma matière grise.

Fort heureusement, je me dis qu'à l'heure actuelle, je ne me sens beaucoup plus seul.

Les couches en tissus cotons plus ou moins aérées ou en style de gaze médicale obligatoirement plus épaisses retenant une humidité qui s'avérait assez vite pénible à supporter, dés un premier pipi incontrôlable étant bébé, et surtout enveloppé pieds enfermé par de grands langes de molletons.

Facile de comprendre que cette première façon de vivre ou subir, ne favorisais pas comme dans notre époque, certains penchants, avec comme chacun sait, le tout début d'une sexualité, notamment pour la gente masculine langée dans du chaud plus ou moins humide.

Mais cette recette vient, beaucoup plus tard réapparaître, telles que des bulles remontant à la surface de l'eau, et pour ma part, va orienter mes goûts de conservation d'humidité au niveau du sexe.

Hors pas de dessins, devenu adulte, il faut retrouver ces dispositifs qui pouvaient apporter quelque part, et avec avidité, certains plaisirs.

Ce qui fait que dés l'adolescence, j'était toujours attiré par les matières étanches douces et soyeuses qui emballaient notamment le sexe féminin avec ou sans leurs règles, et je restais à l'affût d'opportunités me permettant de sentir les matières imperméables sous mon sexe, et finalement le besoin d'éjaculats dans les douceurs qui pouvaient aussi, êtres celles du sexe féminin, développant aussi et déjà par une éducation judéo chrétienne, le penchant masochiste. Bien sur, cette entrée en matières, n'est pas obligatoirement une réalité intrinsèque, mais on peut raisonnablement la prendre en compte. Inutile de dire que désormais, la communication intensive a permis de retrouver beaucoup d'adeptes proches de ce que j'ai pu connaître.

D'où l'analyse qui se que forme comme un triangle avec au sommet la recherche du contact d'une certaine douceur, celles provoquées par les matières étanches ( caoutchouc, plastique).

Puis à la base, d'un coté, l'inévitable besoin de se soulager abondamment, et qui se traduit plus tard par le plaisir de la canule venant chatouiller la prostate suivie de la pression du lavement qui, étant jeune permettait souvent une éjaculation assez rapide, et surtout très jouissive.

La dernière extrémité de ce triangle permet le développement d'un masochisme latent, et aussi le retour à la prime jeunesse procurant les délicieux moments de soins que l'on ne pouvait contrôler, qui actuellement ne peut pas se concevoir, sans revêtements de latex et plastique, lavement, et couches, tout en excluant pas quelques fessées, voir de l'enfermement.

C'est devenu pour ma part une pratique régulière, je ne conçois plus de ne pas dormir dans du latex, (un apport possible de protéines du latex par la peau) d'appliquer au minimum toutes les semaines le grand nettoyage intestinal, et de rechercher le plus souvent avec des achats assez réguliers, notamment sur les sites aux enchères, qui m'ont transformé en collectionneur de vêtements, mais aussi, qui peuvent aussi être très contraignants, gonflables ou en mise sous vide, et de sous vêtements étanches, qui à tour de rôle sont portés pratiquement 24/24 heures.